[Portrait numérique] Taïg Khris, fondateur de OnOff Telecom

Dernière appli téléchargée ?

Jira, qui permet de communiquer en temps réel et de manière collaborative avec les ingénieurs d'un logiciel. Cela facilite grandement mon travail au quotidien avec les développeurs de la technologie OnOff.

Celle qui vous est indispensable et pourquoi ?

Instagram. Pour moi, c'est un peu le Graal dans les réseaux sociaux. Je l'utilise chaque jour pour promouvoir mon activité, suivre des profils inspirants, me divertir et communiquer avec des amis.

Quels comptes suivez-vous de près et pourquoi ?

Il y a tellement de profils intéressants que je ne peux pas en citer un en particulier ! En général, je consulte les profils de personnes qui ont un talent singulier.

Le buzz qui vous a le plus marqué sur la Toile ?

Une vidéo amateur sur YouTube où l'on voyait deux enfants sud-coréens qui dansaient en se prenant pour des requins. Elle a été vue plus de 3 milliards de fois. Un record ! Aussi fascinant que déroutant.

Ce qui vous exaspère le plus sur le Net ?

Aujourd'hui, la popularité sur le Net se mesure beaucoup en nombre de followers. Nombre de véritables talents ne sont pas repérés à cause de cela...

Quel est le dernier gadget high-tech que vous avez acheté ?

La dernière caméra GoPro 360°. Au montage, l'image est époustouflante, et surtout, on peut se balader dedans à 360 degrés.

La tendance web qui vous fascine le plus actuellement ?

Le phénomène de buzz web, qu'il soit positif ou négatif. En un temps record, n'importe quel contenu peut se retrouver à occuper l'esprit de milliards de gens au quotidien.

Votre mentor sur le Web et pourquoi ?

L'entrepreneur américain Elon Musk. J'ai lu son livre. Il s'est construit tout seul et aime voir les choses en grand. Il n'a pas hésité à investir son propre argent dans des projets comme son lanceur de fusée privée, SpaceX. Aucun investisseur ne voulait le suivre.

Le site ou l'appli que vous auriez aimé inventer ?

Le réseau social Instagram, sans aucun doute, même s'il a aussi ses dérives. La vitrine publique des personnes n'est pas forcément significative.